Fortune Cookie Club - 10/30 ( Lyrics Vidéo )

La compilation “Les chansons de la gloire“ est aussi disponible ici ► Vinyle disponible ici ► Médias Sociaux: Facebook ► Instagram ► 🥓 HELL FOR BREAKFAST 🥓 Facebook ► Instagram ► @hellforbrkfast Twitter ► @hellforbrkfast Paroles: Les butchs de joints s’accumulent encore sous le téléviseur Parlez-moi plus de photos, les sourires me donnent mal au cœur Les préjugés des gens ne me surprennent même plus Je sens bien la honte de la fatalité Je sens bien que je stagne devant la réalité J’envie presque la misère des pauvres, des mal-aimés Moi j’ai tout et je me bats contre moi-même « La vie est un opprobre, la mort est un devoir » Le silence ne vaut plus rien Je rêve, d’une mission pour mes mains L’économie encore l’économie L’économie, toujours l’économie L’économie de distance, l’économie de temps L’économie, toujours l’économie L’économie de marché, l’économie sème L’économie, toujours l’économie L’économie de savoir, l’économie de mots L’économie, toujours l’économie J’ai un ennemi, ma déprime, ma seule peur « La vie est un opprobre, la mort est un devoir » Le doute est inhérent Quand ma conscience joue au bord du néant On veut tous ta mise à mort, Pas juste à Wall Street ou dans le Nord On veut tous ta mise à mort, Même sans le savoir Encore, encore, encore plus fort, La honte en moi qui grandit J’ai tant de mal à rester cohérent Bang Bang, y’a plus rien dans ma tête, plus de schémas, j’ai peur des autres Bang Bang, un orage me transperce, je dégoute, j’ai peur d’aimer Les lignes téléphoniques Débordent d’imbéciles Qui s’ouvrent à la radio Le débat de fond qui stagne J’aimerais que leurs sondages imbéciles mentent Pointez-en des coupables Soit. Estropié mentalement Je m’en fais trop. L’étalement, de mes pensées C’est létal, mensonge qui se répète J’y songe, je me la pète Au moins, je ne serai pas cadre chez Mc Do Soit. Y’a un fossé, de génération Un trou, plein de statistiques faussées Une sécession issue du colonialisme De l’immigration et des religions Soit. Le monde est juste épais Destiné à se rassurer lors des paix Paysage violé, par notre manque de mots L’incompréhension, motivant nos milliers de défauts Soit. Des millions de gens sont morts pour rien Pour perdre nos droits dans le purin institutionnel De nos consciences engluées, de cours d’appel De « personne à tort », rien non, « rien n’est pour rien » Soudain, le monde ne fait plus de sens Même les règles établies; pas de cohérences La gravité n’empêche pas de voler La lumière n’empêche pas de croire Soudain, leurs avis, maquillés de fer À tous ceux qui se disent terre-à-terre Lucides, mais qui rêvent toute la journée D’un bonheur qu’ils ne peuvent pas se payer Pourtant, Ça chauffe dans le fond de mes yeux Je voudrais me convaincre d’être heureux Mais y’a trop d’idiots dans leurs condos Qui boivent les paroles de V télé J’y vois encore un peu plus clair J’aurai pu de voix, j’aurai pu de frère Mais la lâcheté n’aura pas le dessus Merci pour l’offre, mais j’ai un but Tapis dans l’ombre attendant la lumière Merci pour l’offre, mais je n’ai plus de patrie pour vos guerres Nous ne sommes pas seuls, nous sommes encore un peu plus forts Plein de rage ou d’envies, faibles, anxieux, mais pas morts Encore, encore, encore plus fort Plein de rêves et d’ennui, La vie n’était peut-être qu’opprobre; nous n’étions que poussière Tapis dans l’ombre attendant les prémisses de la lumière Mes vingt-deux ans se fondent et perlent en moi comme le temps Devant l’attente inutile, coutume délétère de l’Occident La vie n’était peut-être qu’opprobre; nous n’étions que poussière Tapis dans l’ombre attendant les prémisses de la lumière Mes vingt-deux ans se fondent et perlent en moi comme le temps Devant l’attente inutile, et la mort éternelle du printemps
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