Abderrahmane Sissako : « L’occident ne se voit pas disparaître ». Interview par Edwy Plenel.

Après « Bamako » et « Timbuktu », « Black Tea », troisième long métrage d’Abderrahmane Sissako, est en compétition à la Berlinale, avant sa sortie en salles le 28 février. Entre Chine et Afrique, ce conte poétique nous parle aussi de l’état du monde. Entretien avec le cinéaste franco-mauritanien. Mediapart n’a qu’une seule ressource financière : l’argent issu de ses abonnements. Pas d’actionnaire milliardaire, pas de publicités, pas de subventions de l’État, pas d’argent versé par Google, Amazon, Facebook… L’indépendance, totale, incontestable, est à ce prix. Pour nous aider à enrichir notre production vidéo, soutenez-nous en vous abonnant à partir de 1 euro (#at_medium=custom7&at_campaign=1050). Si vous êtes déjà abonné·e ou que vous souhaitez nous soutenir autrement, vous avez un autre moyen d’agir : le don ➡️ https:
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