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La Grande Pyramide et La Cité Idéale
Érudites de la Grèce Ancienne en Égypte
Dans les profondeurs de l’histoire, un secret colossal attend d’être révélé. Un secret si ancien qu’il précède les plus vieilles civilisations connues, si puissant qu’il pourrait ébranler les fondements mêmes de notre compréhension du passé. Ce secret, c’est celui de la Grande Pyramide et de la Cité Idéale, enfoui sous les sables du temps et gardé par les énigmatiques prêtres de Saïs.
Tout commence avec Crantor, un philosophe grec du 3ème siècle avant notre ère. Cet homme, poussé par une insatiable soif de connaissance, entreprit un voyage périlleux vers l’Égypte. Il ne le savait pas encore, mais il allait marcher sur les traces de son illustre maître, Platon, et du légendaire Solon avant lui.
Crantor avait entendu parler d’une histoire incroyable, un récit transmis de génération en génération, murmuré dans les couloirs du savoir. On parlait d’une civilisation florissante, engloutie par les flots il y a plus de 10 000 ans : l’Atlantide. Cette histoire, Platon l’avait consignée dans ses dialogues “Timaeus“ et “Critias“, mais d’où la tenait-il ?
La réponse se trouvait à Saïs, une cité mystérieuse nichée dans le delta du Nil. Là-bas, disait-on, des prêtres gardaient jalousement des secrets millénaires. Solon, le grand législateur athénien, avait été le premier à percer le voile du mystère. Il avait vu de ses propres yeux des textes gravés sur des piliers souterrains, des textes qui parlaient d’une histoire bien plus ancienne que tout ce qu’on pouvait imaginer.
Platon, intrigué par ce récit, avait lui aussi fait le voyage. Et maintenant, c’était au tour de Crantor de plonger dans les profondeurs de ce mystère. Arrivé à Saïs, il fut accueilli par les grands prêtres du temple. Ces hommes, gardiens d’un savoir ancestral, le guidèrent dans les entrailles de la terre.
Là, sous la lumière vacillante des torches, Crantor vit ce que Solon et Platon avaient vu avant lui : des hiéroglyphes gravés dans la pierre, racontant une histoire qui défiait l’entendement. Ces inscriptions parlaient non seulement de l’Atlantide, mais aussi de l’origine antédiluvienne des constructions de Gizeh. Elles révélaient l’existence de passages secrets reliant les pyramides entre elles, formant un réseau souterrain complexe dont l’étendue restait à découvrir.
Des siècles plus tard, l’écho de cette révélation continue de résonner. Saïs n’est plus qu’un village ordinaire, enseveli sous la terre grasse et noire des limons du fleuve. Mais sous cette apparence banale se cache un trésor inestimable.
Le temple de Saïs, dédié à Neith et Osiris, garde encore ses secrets. Les fouilles récentes n’ont mis au jour que quelques murs de briques, vestiges du mur d’enceinte du temple. Mais la nuit, quand le silence enveloppe les ruines, on peut presque entendre les murmures du passé.
Que cache vraiment Saïs ? Que savaient Crantor, Platon et Solon que nous avons oublié ? La Grande Pyramide et la Cité Idéale ne sont peut-être que la partie visible d’un mystère bien plus vaste, un secret qui pourrait réécrire l’histoire de l’humanité.
Les sables du plateau de Gizeh dissimulent un réseau souterrain titanesque attend d’être redécouvert, attesté par des figures historiques éminentes à travers les âges.
Proclus, philosophe et mathématicien du Ve siècle avant notre ère, a non seulement confirmé le voyage de Crantor en Égypte, mais a lui-même contemplé ces merveilles cachées. Ses écrits révèlent que la Grande Pyramide n’était qu’un chapitre récent d’une histoire bien plus ancienne : le site servait d’observatoire astronomique bien avant sa construction.
Hérodote, le père de l’histoire, a percé une partie du voile en 450 avant Jésus-Christ. Les grands prêtres lui ont dévoilé l’existence d’un vaste labyrinthe sous la Grande Pyramide, connecté à d’autres structures pyramidales au sud du plateau. Un réseau souterrain d’une ampleur insoupçonnée, défiant notre compréhension actuelle de l’Égypte antique.
Manéthon, grand prêtre égyptien du IIIe siècle avant Jésus-Christ, a ajouté une dimension mystique à ces découvertes. Dans ses écrits, il évoque Hermès-Thot, figure légendaire, qui aurait gravé l’ancienne Connaissance sur des piliers pour la préserver des cataclysmes à venir. Une capsule temporelle enfouie, attendant d’être déchiffrée.
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CHAPITRES :
00:00 - Érudites de la Grèce Ancienne en Égypte
08:12 - Le Secret des Deux Portes
18:25 - Les Textes Sacrés Égyptiens
35:39 - La Barque Solaire