À Buenos Aires, un poison transforme les habitants en zombies

“PASSEPORT POUR LE CRIME BUENOS AIRES“ / Benjamin Castaldi n’a jamais mis les pieds à Buenos Aires et pourtant il entretient un lien très spécial avec la capitale de l’Argentine. Son père, le comédien Jean Pierre Castaldi a vécu une grande partie de son enfance là-bas. Il y a appris l’espagnol, l’amour des grands espaces et l’art d’esquiver les coups. Car dans les années 50, dans la cour de l’école comme dans la rue, la violence était la règle. Benjamin Castaldi va plonger dans cette mégalopole et découvrir que les choses n’ont pas tellement changé. Cuisine raffinée, vie nocturne effervescente, contestation politique quotidienne, la capitale de l’Agentine ne ressemble à aucune autre ville au monde. C’est une métropole d’immigrants européens. Du coup, l’architecture rappelle Paris, les restaurants, Rome et les horaires tardifs, Madrid. Un métissage de cultures qui a donné naissance
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