🌞 Pendant que les gens de pouvoir jouent frénétiquement avec le diable, que faisons-nous ?

💎 Quelques éléments de contexte avant l’émission du lundi 15 juillet 2024 en direct à 20H L’image qui illustre cette émission s’intitule « La lumière joue avec nous ». Il s’agit d’une photographie cueillie par Anne-Marie Brachet de « Élan du cœur énergie ». Une fois de plus, il s’agit d’y regarder de plus près pour voir clairement deux formes lumineuses qui peuvent s’apparenter à des êtes qui viennent rayonner sur la Terre et l’humanité. Pendant que les enfants s’amusent au parterre, on le sait maintenant, des choses importantes peuvent se jouer à notre insu. Pendant que les dirigeants institutionnels de cette planète donnent des jeux à la population, ils s’occupent des affaires sérieuses, de ce qui compte vraiment dans ce monde. Jusqu’à présent, nous avons tous cru que ce qui menait le monde était essentiellement l’argent, outil incontournable du pouvoir et de l’autorité. Cela fut sans doute vrai du temps où l’argent était relié à l’or, où la lumière reflétée était totalement dépendante de la lumière authentique. Il y a bien longtemps que l’argent n’est plus relié aux lingots d’or possédés par un pays. L’argent n’est pratiquement plus une monnaie, étant devenu désormais des chiffres sur un écran d’ordinateur, sans nul besoin d’une corrélation avec une valeur réelle. Les faux monnayeurs sont au chômage, remplacés par des décideurs qui demandent aux techniciens informatiques d’ajouter des zéros à un nombre pour créer des milliards, d’euros ou de dollars, de pesos ou de dinars. L’argent se crée dans le secret des banques mondiales, de montre sur un écran d’ordinateur, se vend aux pauvres pour qui il a encore de la valeur… A contrario, pour les puissants, non seulement il n’a pas d’odeur, mais il n’a plus de valeur. Quel est donc alors aujourd’hui l’outil qui donne la possibilité aux humains qui le désirent de diriger la planète et contrôler la population ? C’est le pouvoir, traduction dualiste de la puissance divine. Tous deux d’entre nous qui ont expérimenté à leur dépens des relations avec des êtres aux comportements pervers narcissiques, savent que le prédateur se nourrit de l’énergie de sa proie. L’énergie d’autrui se capte aisément par le biais des émotions suscitées, des sentiments générés, des pensées induites. L’emprise permet la manipulation et la soumission de celui ou celle qui s’est laissé séduire par le beau renard qui l’avait flatté, complimenté sur son ramage et son plumage. À force de pleurs et de désespoir, nous avons commencé à comprendre et à conserver en nous-mêmes notre autorité, à ne plus donner notre pouvoir, au moins dans notre vie personnelle. Dans la vie collective, la chose est plus sournoise, bien moins visible. Les dirigeants des institutions étatiques et internationales ont besoin pour conforter leur pouvoir , de nous occuper pendant qu’ils consacrent leur existence à chercher des forces dans le monde astral, dans le plan subtil dualiste. Avec les « énergies » captées dans leurs messes noires, ils ont compris qu’ils avaient là des moyens de manipuler et de dominer bien plus efficacement qu’avec le vieil argent. C’est ce qui explique les pratiques satanistes, les rituels en tous genres qui permettent de capter des forces électro-magnétiques et psychiques, puis de pendre le pouvoir sur autrui. Le diable est généreux avec ceux qui pactisent avec lui, il donne en effet de quoi satisfaire la soif de pouvoir de ses adeptes. Il présente aussi sa facture ! Insatiable, il demande toujours plus à ses disciples, toujours plus de sang, toujours plus de sexualité morbide, toujours plus de sacrifices, toujours plus de vitalité, toujours plus d’émotions. Pour continuer à être nourris en abondance par leurs adeptes, le diable, les entités astrales qui s’opposent à l’Unité et à l’Amour, entretiennent dans la population la confusion entre le subtil et le Divin, entre « les énergies » et l’onde divine, entre la lumière authentique et son reflet. Lucifer et Ahriman sont les champions de cette confusion et il faut un solide ancrage en Christ pour rester sur la voie de la Vérité, le chemin de « je suis JE SUIS », pour constater l’évidence de l’abondance par la reconnaissance de notre divine essence manifestée dans le corps. Les occasions de nos distractions sont légion : les jeux olympique bienvenus en 2024 qui ne sont qu’une partie émergée de l’iceberg qui nous fige, l’argent qui nous préoccupe est aussi un outil de diversion, les sentiments et toutes les passions qu’ils font vivre sont aussi un merveilleux outil de diversion, les jouissances de toutes sortes sont également de puissantes sirènes qui enchaînent. Cette année 2024 nous invite au positionnement, au choix radical de notre voie. Existons-nous pour chercher le bonheur à partir des paramètres humains brandis par nos sociétés matérialistes, ou vivons-nous cette expérience terrestre pour l’évolution de la conscience humaine allant jusqu’à l’avènement d’une espèce nouvelle qui manifeste totalement la Divinité dans l’incarnation ?