Le Goncourt de la honte

Je ne rentre pas dans les détails du roman Houris, je me concentre sur la dimension de l’utilisation de la vie intime de Saâda Arbane par Kamel Daoud. Je vous invite à aller voir la vidéo d’@aleaplus ou de consulter les sources, vous trouverez des articles qui reviennent sur le livre. Effectivement, comme beaucoup me l’ont fait remarquer, le “d“ final de Daoud se prononce clairement. Comme j’avais un camarade qui disait “Daou-“ pour son nom de famille qui était “Daoud“, je pensais que les deux prononciations étaient acceptées. Ce n’est pas le cas, et je présente mes excuses à tous les “Daoud“ qui se sentent silenciés. A ceux qui veulent juste m’attaquer sur un défaut de prononciation comme s’il venait d’une intention maligne de ma part, je supprimerai systématiquement les commentaires inutilement haineux. // Sources / Interview de Saâda Arbane par la cha&
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