Fredericks Goldman Jones - Nuit (LYRICS)

1990 CBS ‎– 656515-1 LYRICS La nuit t’habille dans mes bras Pâles rumeurs et bruits de soie Conquérante immobile Reine du sang des villes Je la supposais, la voila Tout n’est plus qu’ombre rien ne ment Le temps demeure et meurt pourtant Tombent les apparences Nos longs si longs silences Les amants se perdent en s’aimant Solitaire à un souffle de toi Si près tu m’échappes déjà Mon intime étrangère Se trouver c’est se défaire A qui dit-on ces choses là As dawn lights up another day Visions I once fade away All other words unspoken My wildest dreams unwoken It wasn’t supposed to be that way Should I leave why should I stay Solitaire à un souffle de toi Leavin’ behind me yesterday Tout près tu m’échappes déjà Am I free or forsaken Mon intime étrangère Cheated or awakened Se trouver, se défaire Does it matter anyway?
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