Les abus du SPMI : Mesures superprovisionnelles pour visiter le musée Haribo ! Version complète

La précédente vidéo a été coupée avant la fin. Voici la version complète de cette vidéo urgente pour les familles qui sont obligées d’accepter toutes les décisions du SPMI (Service de Protection des Mineurs à Genève), parfois même les plus révoltantes comme faire accoucher par césarienne un prématuré pour permettre au SPMI de s’accaparer le bébé à la naissance et lui faire subir des expériences médicales à l’hôpital ou il ne pourra plus en sortir, il n’a en effet plus aucun droit par rapport à ses parents qui n’ont pas pu réaliser les démarches administratives. Les bébés placés subissent aussi des tests PCR car ils sont considérés comme cobayes de certains professeurs spécialisés en “neuroscience“. Ils sont aussi les “jouets“ de psychothérapeuthes, certains revendiquent meme leur transgenrisme ou leur non binarité. Nous reviendrons sur cette affaire plus tard, en attendant ce lundi 23 octobre, plusieurs enfants placés par le SPMI en foyer vont quitter la Suisse pour une adresse inconnue. Une semaine de vacances en Camargue, sous la surveillance de seulement trois adultes, est organisée par le foyer genevois sans donner l’adresse du camping où les enfants seront logés. Au programme, piscine fermée pour enfants et visite du musée Haribo... les plus jeunes enfants ont seulement 4 ans. Aux parents qui refusaient de transmettre une pièce d’identité pour leur enfant, la justice répond par des mesures superprovisionnelles leur imposant la remise d’un document d’identité valable qui sera conservé par le foyer. Les mesures superprovisionnelles, non sujettes à recours, sont utilisées à tour de bras par une justice qui perd les pédales. Le cas du musée Haribo serait presque comique s’il n’impliquait pas des enfants pour lesquels les parents perdent tous leurs droits. Une nouvelle genevoiserie de plus.
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