Hervé Derycker Du cosmos à la cellule - Quantique planète Reims 2012

Astrophysicien. Créateur et directeur du Planétarium-Observatoire de Briançon-les Écrins. Conférencier international. Voir le site : Dans le domaine des thérapies, afin que chaque thérapeute (ou médecin) puisse vraiment saisir pourquoi ce qu’il fait à un sens, il doit comprendre la nature même du réel, de la matière, bref de l’atome qui n’est que la partie infime, visible de l’iceberg de notre univers observable et palpable... Or, dans l’interprétation de la réalité, tout semble converger vers une compréhension de la nature du réel qui n’exprime sa plénitude qu’en dehors d’un système quadridimensionnel. Le temps se révèle intemporel à l’échelle quantique. Alors, comment déterminer la vitesse qui est une fonction de la distance parcourue divisée par le temps ? Or, si le temps est intemporel, il est mathématiquement nul et/ou infini, et cette division devient impossible, ce qui signifie que la détermination des distances n’est établie que dans un référentiel tridimensionnel. Qu’est ce que cela veut dire ? La réalité que nous percevons ne représente que 0,01 % de ce qu’est notre univers. Alors que sont les 99,99 autres pour-cent qui nous propulsent dans un univers où tout devient possible ? Variance des niveaux vibratoires, superposition des états temporels, finitude de notre univers, dualité de l’univers, mondes et univers parallèles... réalité ou science-fiction ? Nous savons que l’observateur modifie l’objet qu’il observe, mais alors l’objet observé modifie aussi le comportement de l’observant ! Y a-t-il une réversibilité des influences ? Comment la variabilité de l’espace-temps agirait-elle sur ces influences ? Par sa pulsation, notre cœur a un niveau vibratoire unique et très subtil, ce que n’a pas la pensée. Quelle est alors la place du ressenti face à la pensée dans les processus de guérison physique et psychique en état d’éveil ou de sommeil ? Mais il n’y a pas que le cœur qui pulse : l’atome, notre terre, le soleil, la galaxie, l’univers pulsent... Pourquoi l’homme échapperait-il à la cohérence de l’univers ? La maladie n’est que la résultante de cette dé-cohérence (dirésonance quantique cellulaire).