Un passé intime et idéalisé,
d’inspiration chevaleresque et romantique.
Musique, rêverie, images, nostalgie :
réalité du souvenir... réalité de l’imaginaire ?
Ce poème, publié en 1832 dans les Annales romantiques,
fit partie en 1834 du recueil Odelettes,
dont Nerval déclarait qu’elles étaient inspirées de Ronsard.
Illustration :
Château d’Ermenonville 2
@N02/3206491697/in/set-72157602581591166/
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Poésie - ACCENT TONIQUE français et COUPE (Gérard de Nerval)
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Série - dernière partie -Splendeurs et Misères des Courtisanes - 1975 - d’après Honoré de Balzac