Le sucre ennemi du cerveau

Le sucre ennemi du cerveau Avant toute chose, je précise que je ne suis pas contre la prescription de statines et ne recommande pas l’arrêt d’un traitement par statines sans avis médical . Les pics de sucres ne sont pas le seul élément qui sous-tend les liens entre l’alimentation occidentale inflammatoire et l’altération de la santé mentale. Pour comprendre tout les mécanismes, rendez-vous dans Bien manger pour ne plus déprimer avec plus de 200 sources scientifiques de méta-analyses et d’essais contrôlés randomisés. Le poison est dans la dose : les autorités de santé (y compris l’Organisation Mondiale de la Santé) pointent l’excès de sucre dans l’alimentation moderne, responsable d’une épidémie d’obésité dans toutes les tranches d’âge et notamment chez les enfants et les adolescents. Cette graisse périviscérale inflammatoire va altérer le sommeil et la concentration, et augmenter la vulnérabilité au stress. La nature des apports de glucose va jouer : des petites bombes inflammatoires répétées (soda sucré, sucre dans le café, fruit sucré isolé entre deux repas, grignotages, snacks, viennoiseries, sirop, jus de fruit industriel, chocolat riche en sucre…) vont dérégler notre système de stockage du sucre basé sur l’insuline. Les gènes du métabolisme du sucre sont impliqués dans la santé mentale. Il faut ensuite distinguer le glucose, le lactose (60% des adultes présentent un déficit en beta-galactosidase) et le fructose (sucre majoritaire des produits ultra-transformés qui, lorsqu’il n’est pas utilisé immédiatement pour la dépense énergétique, est un gros pourvoyeur de prise de poids). Attention, les fruits rouges et le citron reste recommandés à volonté ! Car il est très difficile de dépasser les apports recommandés avec ces fruits, contrairement aux produits ultra-transformés. Et vous, avez-vous changé vos pratiques par rapport au sucre ? Plus d’infos sur et dans Bien manger pour ne plus déprimer (avec les sources scientifiques) On avance ensemble Guillaume
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