Les abonnés sont des navets, féodalisme numérique

00:01 féodalisme numérique 25:00 réflexion sur l’espace qu’occupe ou non une œuvre d’art 30:45 réflexion sur Les rougegorges Je crois que la seule raison de regarder une vidéo comme la mienne est de voir quelqu’un en train de penser. C’est pour cela que je l’ai laissée aussi longue, même si, d’une certaine manière, j’ai un peu honte, car sur internet, on ne voit presque que des pensées mâchées et bien construites... Du coup, par contraste, je passe pour un nul. L’intérêt de venir me voir, c’est non pas de voir le résultat de la pensée, mais l’effet de penser Et l’acte de penser par un humain qui vit sa pensée avec tout ce que cela implique d’erreurs,de frustration et de fierté. Pour avoir une définition claire du féodalisme numérique, il suffit de demander à GPT : Le terme féodalisme numérique est souvent utilisé pour décrire la manière dont certaines grandes entreprises technologiques ou plateformes en ligne contrôlent les ressources numériques, créant une sorte de dépendance pour les utilisateurs, les créateurs de contenu, et les petites entreprises. Ce concept compare l’économie numérique moderne à l’ordre féodal du Moyen Âge, où un petit groupe de seigneurs (ici, les grandes entreprises technologiques comme Google, Amazon, Facebook, Apple, etc.) détient le pouvoir et contrôle les ressources, tandis que les utilisateurs (comparés aux serfs) dépendent de ces plateformes pour accéder aux biens, services et informations. Voici quelques caractéristiques principales du féodalisme numérique : Centralisation du pouvoir : Un petit nombre d’entreprises contrôlent une grande partie de l’infrastructure et des services numériques (réseaux sociaux, moteurs de recherche, commerce en ligne, etc.). Cette concentration de pouvoir économique et technologique rappelle la hiérarchie féodale, où quelques seigneurs possédaient les terres et dictaient les règles. Dépendance des utilisateurs et créateurs : Les utilisateurs et créateurs de contenu deviennent de plus en plus dépendants de ces plateformes pour leur subsistance (en termes de visibilité, de revenus, de contacts, etc.), créant une sorte de “vassalité numérique“ où ils doivent se soumettre aux règles et algorithmes de ces plateformes pour réussir. Enfermement dans l’écosystème : Les entreprises technologiques créent des écosystèmes fermés (par exemple, Apple avec son App Store ou Amazon avec son système de marché en ligne) dans lesquels les utilisateurs et développeurs sont contraints de rester, car les quitter entraînerait une perte de visibilité ou de revenus. Exploitation des données personnelles : Les plateformes capitalisent sur les données des utilisateurs pour maximiser leurs profits, renforçant ainsi leur contrôle et leur domination. L’idée du féodalisme numérique critique donc la manière dont ces grandes plateformes limitent la liberté économique et individuelle en imposant leurs conditions, ce qui génère une inégalité croissante dans l’accès aux ressources et opportunités numériques. Cela reflète les préoccupations modernes concernant la centralisation du pouvoir et le manque de concurrence dans le secteur de la technologie, ainsi que les défis liés à la protection de la vie privée et à la régulation des géants du numérique. Mon site Web: Mon instagram: Pour me faire un don: Pour me faire un don sur Tipeee: le discord où je suis
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