Loïc Nottet - Mélodrame (Clip officiel)

Mélodrame - maintenant disponible : Réalisé par Maxime Lorand Produit par Mimesis Danseurs : Laëtitia Janssens - Virginie Lienard - Malik Zaryaty - Jun Li Wu Chorégraphes : Loïc Nottet - Loys Assal - Virginie Lienard - Justine Vercleven Producteurs : Pablo PACINI - Alex DOSSOGNE Directrice de production : Lou-Théa PAPALOÏZOS Assistant réalisateur : Noah BASOMBOLI Régisseur général : Martin GJERGJA Régisseur : Hugo BUYSSE Chef opérateur : Alex DOSSOGNE Ingénieur DMX : Gabi DE MOITELLE Steadycamer : Charly VANDEDRINCK 1er assistant caméra : Robin NIEDERGANG 2me assistant caméra : Eden PLATIAU Chef electro : Rayan IMOULA Electro : Benoit DERICKE Cheffe Machino : Yasmin BENNAFLA Machinette : Camille MOUCHERON Preneur de son : Cédric VAN RIJCKEVORSEL Monteuse image : Manon SAYSOUK VFX : Valentin REMY Etalonneur : Francois DUBOIS Stunt supervisor : Simon VAN LAMMEREN Head rigger : Mark WIJERING Rigging assistant : Aron VISSER Photographe plateau : Valentine CAPRON Techniciens Opéra : Jolan FABRIS - Sylvain GEERTS - Sebastien TIRRIARD - Raphael CESA Contact Opéra : Nassima ELOUALI Costumier Loïc Nottet : Pieterjan VAN BIESEN pour Natan Couture Maquillage : Sarah Carlier Coiffure : Gaetano Saporito Merci à L’. (Opéra Royal de Wallonie-Liège) et à ---------------------------- Retrouve Loïc Nottet sur : - TikTok : @loic_nottet - Instagram : - Facebook : - Twitter : ---------------------------- Nous tous, lésés rêveurs, Nous nous plaisons dans nos malheurs Le monde entier s’en plaint, Mais pourtant comme moi, tu fais rien Pardonne ma question du coup, Sais-tu pourquoi tu panses tes g’noux? Si encore, sans cesse, toujours, pour dire T’attends tranquille ton tour La même, j’suis le premier, c’est vrai, J’aime plagier le parfait Mais qu’est-ce que quelques larmes Pour l’attention d’mon mélodrame ? Comme d’hab, l’extrapoler, Pourquoi pas même le sublimer ? Alcoolisé et drogué le soir T’abuses, t’aimes en jouer La vie de l’Homme c’est tout Le rien, c’est jamais assez fou Il blesse s’il est à bout, lâchement te vend S’il prend des coups, L’humain veut plus penser, tu sais, La frousse d’être critiqué Soumis, t’aimes trop te taire Même si tu crois le contraire Société surfaite, Quand l’égo te met en scène Dévoile moi l’envers, sans peine, Où l’Homme ne cherche plus à se plaire Paradis abstrait, Te fais pas discret, et même Montre-moi le repère, sans haine, Où l’Homme se vante plus de complaire D’nos jours, j’ai peur de dire, Parfois je crains même d’un peu rire Loin d’moi l’idée d’te nuire, J’ai jamais voulu t’faire souffrir Mais l’angoisse, faut l’avouer, D’oser par soi-même y penser, M’a tout comme toi forcé D’valser bêt’ment au bal masqué Crois-moi, retiens mes mots, Promis mon conseil c’est pas faux : Le bonheur sera l’audace Qu’aura ton cœur si tu rêvasses, Pour un jour, banni l’orgueil, Peu m’importe que le monde le veuille Un jour se satisfaire, Sans jamais vouloir mieux faire Société surfaite, Quand l’égo te met en scène Dévoile moi l’envers, sans peine, Où l’Homme ne cherche plus à se plaire Paradis abstrait, Te fais pas discret, et même Montre-moi le repère, sans haine, Où l’Homme ne cherche plus à complaire Trop souvent j’perds mon temps À sans cesse compter l’montant, Bien triste mais sans l’argent T’en profites pas autant. Les rêves sont pas gratuits, Même si la rumeur le dit, La vie c’est pour les grands, Plus d’place pour les enfants. Les jobs, les testaments, repars, Envole-toi Peter Pan ! Plus d’place pour la magie Dans ce monde où l’Homme a tout dit. J’espère souvent mon lit, Heureusement qu’rêver c’est permis, Alors j’m’adresse à toi, le gardien du pays : Dis-moi si ça te dit, Qu’on vienne te voir une fois l’ami ? Ce sera pas comme sur terre J’polluerai plus ton air Ce sera plus comme des millénaires, Promis plus d’polémiques, de guerre J’te refile pas l’enfer, J’veux juste une nouvelle ère Société surfaite, Quand l’égo te met en scène Dévoile moi l’envers, sans peine, Où l’Homme ne cherche plus à se plaire Paradis abstrait, Te fais pas discret, et même Montre-moi le repère, sans haine, Où l’Homme se vante plus de complaire Oh-oh
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