Film sur la justice et le secret de confession belle réflexion sur l’âme humaine👇

Un téléfilm tout un programme Simon veut dire celui qui écoute et la loi est le grand thème saint Paul dans le nouveau testament faisant résonner la voix du Christ qui libère l’homme de l’hypocrisie avec quelques vulgarité dans le personnage de l’avocat cela peut servir l’attention et l’intrigue . Un film intéressant sur la complexité de l’âme humaine et sa roublardise Pour la loi française, le secret professionnel est un devoir réservé aux médecins, aux avocats, mais aussi aux ministres des cultes dans l’exercice de leur ministère. Le Code pénal (art. 226-13) reconnaît que les ministres du culte - catholiques comme protestants -, sont tenus de garder le secret sur les révélations qui leur sont faites dans l’exercice de leur ministère sacerdotal ou en raison de ce ministère, sous peine de 15 000 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement. Pour le Code de droit canonique le secret de la confession est un droit absolu pour la personne qui se confesse (canon 983). Il ne souffre aucune exception, sous peine d’excommunication pour celui qui l’enfreint Code de Droit canon n°1388,1 Le Catéchisme de l’Église catholique explique que « la délicatesse et la grandeur de ce ministère et le respect dû aux personnes » justifient le secret absolu de la confession (n° 1467). Le confesseur ne donnera pas d’absolution si le pécheur ne se dénonce pas Rappelons que le confesseur peut et même doit refuser de donner l’absolution s’il apparaît que le pénitent ne remplit pas l’une ou l’autre des trois conditions requises : la vive détestation de son péché, le ferme propos de ne pas recommencer, et l’intention résolue de le réparer et d’accomplir sa pénitence. Pendant sa vie terrestre, Jésus a annoncé qu’il donnera à son Église, à Pierre et aux apôtres, le “pouvoir de lier et de délier“ (Mt 16,19) c’est-à-dire d’admettre ou d’exclure, de condamner ou d’absoudre. C’est après sa résurrection, lors qu’il est apparu à ses disciples, qu’il leur a donné l’Esprit Saint et qu’il leur a dit : “Recevez le Saint Esprit. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus.“ (Jean 20, 22-23) Jésus leur a donné la mission de pardonner et c’est par le pouvoir de l’Esprit Saint qu’ils peuvent remettre les péchés. Jésus a donc donné à l’Eglise le pouvoir de pardonner les péché premier sacrement de la rémission des péchés est le baptême qui remet le péché originel et les péchés personnels des adultes. “Que chacun se fasse baptiser pour la rémission de ses péchés“ (Acte 2,37-38) Mais pour ceux qui après le baptême retombent dans le péché, Dieu renouvelle son pardon. L’institution du sacrement du pardon a donc été faite par Jésus. La contrition nous porte à vouloir réparer notre péché du mieux que nous le confesseur peut choisir librement la pénitence a imposer, en ayant soin cependant de la proportionner, autant que possible, à la gravité des fautes accusées. Il ne faut pas confondre l’aveu sacramentel avec un aveu judiciaire. Le prêtre est là pour pardonner les péchés qu’il reconnaît avoir commis en conscience. Mais l’aveu obtenu en confession n’est pas une vérité judiciaire ou policière. C’est la vérité de l’âme dans son rapport avec Dieu. Il faut savoir en effet que, dès le VIe siècle, les canons syriens antiques punissent sévèrement le prêtre qui aurait révélé le secret absolu d’une confession en lui interdisant à jamais d’exercer son ministè n’a le pouvoir, en aucun cas, de ne pas respecter le sceau sacramentel, et le confesseur qui trahit le pénitent sera frappé d’une excommunication immé confesseur doit, sous peine de sacrilège grave, être en état de grâce. Si donc il avait commis une faute mortelle, il devrait s’efforcer, au moins par un acte de contrition parfaite, d’obtenir son pardon avant de donner à autrui une absolution sacramentelle. Tout prêtre, qui par office doit être à la disposition des fidèles pour le ministère de la confession, est obligé par le fait de se trouver normalement en état de grâce. Le ministre du sacrement de Pénitence devra être affermir dans la vertu et savoir se prémunir, par la vigilance sur lui-même,par l’esprit de prière et de mortification, contre les tentations nombreuses et graves qu’il rencontrera parfois dans l’administration de ce sacrement. Il est toujours interdit, en dehors de la confession, de reparler au pénitent de ce qu’il a confié sous le sceau du secret sacramentel. En cas de nécessité il faudrait d’abord en obtenir de lui la permission: alors seulement on pourrait estimer que l’usage fait de la science sacramentelle ne sera pas désagréable au pénitent. Si le confesseur connaît par ailleurs ce qui lui a été confié en confession, cette science extra-sacramentelle ne tombe pas directement sous les règles du secret sacramentel. Qu’il prenne grand soin cependant de ne pas risquer de faire croire qu’il abuse de la science acquise en confession.
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