Dalila Sadok : “Ma fille de deux ans avait des MST...“

Soutenez le combat: Abonnez-vous à : 200 films, reportages, documentaires sur la pédocriminalité. Et les bénéfices sont reversés à l’Asso Justice pour l’Enfance . Dalila Sadok est l’une des héroïnes - malgré elle - du film “Les Survivantes“ de Pierre Barnérias qui est encore en salles - allez vite le voir avant qu’ils ne l’escamotent. Survivante donc, mais pas au titre de victime d’un réseau pédocriminel, comme maman de victimes actuelles d’un réseau. A elle seule Dalila coche toutes les cases qui résument le déni absolu dans lequel notre pays s’est figé face au fléau pédocriminel. Mère des deux enfants, elle constate chez eux, dès leur plus tendre enfance, des dégâts physiques qui ne peuvent avoir été engendrés que par des actes pédophiles de leur géniteur. Accablée par l’ horreur de cette découverte, mais confiante dans la justice de notre pays, elle le dénonce. Et là, le ciel lui tombe sur la tête. Non seulement l’inceste n’est pas reconnue, mais l’incurie de notre justice la conduit à lui retirer ses gosses pour les placer abusivement chez leur géniteur. Dalila présente aujourd’hui de nombreux indices qui mènent à un réseau pédophile dont ses enfants seraient les victimes, en ce moment-même. La seule chose que la justice, drapée dans sa dignité et sa bonne conscience de la “chose jugée“ n’a pas saisi, c’est que Dalila est une combattante, et qu’elle récupérera ses enfants, quoi qu’il en coûte.
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