LA LOGIQUE DE LA CREATION - Cube Métatronique

Comme vos le savez déjà, je suis devenu au fil du temps de plus en plus accroc au cube et notamment à celui que l’on dit de Métatron. Pourquoi ce nom ? La raison en est bien simple : c’est la géométrie parfaite qui a été appliquée à notre galaxie et dont le chef (Métatron) doit s’assurer qu’elle sera mise en œuvre par toutes les Hiérarchies ayant un rapport avec « le masculin géométrique – le 1 ». Métatron n’est pas très bavard sur son passé mais je sais qu’il a connu les joies de l’incarnation ainsi que son frère de cœur et de « sang » Sandalphon. C’est d’ailleurs pourquoi ils sont les seuls à être des Archanges dont le nom ne se termine pas par EL (EL = le ciEL = l’angélique). Peut-être qu’un jour je serai mis dans la confidence… En tout cas, dans la vidéo suivante, je reprends les éléments essentiels dont je vus ai déjà parlé à de multiples reprises auxquels je rajoute des nouveautés. Bien évidemment, cela a un but et c’est celui que vous deveniez familier à l’idée que ce qui nous semble complexe (et surtout sans rapport entre eux) est en vérité une déclinaison de la même chose qui n’a fait qu’évoluer au fil de l’expérimentation du Sans-Nom à travers l’illusion pour se connaître lui-même. Le cube est la géométrie parfaite issue du féminin parfait qui est la sphère. Cette dernière est la représentation du mouvement dans l’espace que nous avons nommé la vibration qui s’exprime comme une fréquence si on la prend en référence au temps (F = nombre de rotation en 1 seconde). Puis si on la prend en référence dans l’espace on appelle cela une longueur d’onde (T = distance parcourue en mètre lors d’une rotation complète). La loi de l’Unité est donc la suivante F x T = 1. Cette loi physique n’est que l’expression de la dualité/complémentarité du temps et de l’espace (l’aspect vibratoire et l’aspect corpusculaire) comme l’est le magnétique avec l’électrique. Ils sont indissociables car en vérité c’est la même chose vu sous 2 angles différents. La vue via le pôle nord est différentes du pôle sud de part l’inversion du sens de rotation. La première est dextrogyre tandis que l’autre est lévogyre.