La mémoire de l’eau selon Benveniste, Montagnier et Emoto

Jacques Benveniste, docteur et immunologiste, chercheur à l’Inserm, a révélé dans ses expériences que l’eau a une mémoire. Le professeur Luc Montagnier, biologiste virologue, Prix Nobel de médecine avec Françoise Barré-Sinoussi et Harad zur Hausen pour avoir découvert le VIh, virus de l’immunodéficience humaine, responsable du sida, a repris les travaux du scientifique français, mort en 2004, après avoir été diffamé par ses pairs lors d’une controverse mondiale, sur la capacité de l’eau de garder en mémoire les propriétés des molécules avec lesquelles elle aurait été en contact même lorsque celles-ci ne s’y trouvent plus, et sur la formation dans l’eau de nanostructures induites par l’ADN. Fort de ce constat surprenant qui pourrait provoquer une révolution en matière médicale, Luc Montagnier arrive à enregistrer des fréquences vibratoires que l’eau reçoit lorsqu’elle est mise en présence de musique ou de différentes sortes de son. Vilipendé à son tour, Luc Montagnier, en 2010, annonce qu’il fuit le climat de terreur intellectuelle qui règne en France à son encontre et prend la direction d’un Institut de recherche en Chine, à Shangaï, à l’Université Jiatong où il poursuit ses recherches. Lors de sa première expérience sur du plasma sanguin de malades infectés par le virus du sida, il détecte des ondes électromagnétiques. Fasciné par ce phénomène qui met en lumière les étonnantes propriétés de l’eau, épaulé par Jamal Aïssa de Nanectis Biotechnologies, ancien collaborateur de Jacques Benveniste, que l’on pourrait tristement appelé le Galilée du XXème siècle, il travaille de concert avec le professeur italien de biologie moléculaire, Vittorio Colantuoni, de l’université de Sannio Benevento à Rome, le professeur Giuseppe Vitiello, let e professeur de chimie et physique quantique à l’université de Strasbourg, Marc Henry, pour démontrer que les ondes électromagnétiques auraient les mêmes propriétés que la matière qui les a émises, et que les molécules d’eau ont la capacité de tisser des liens entre elles afin de former des agrégats extrêmement dynamiques. Notre corps étant fait de 90% d’eau, surnommée la matrice du vivant, cela révolutionnerait toute approche médicale autant dans le diagnostic que dans le traitement. En parallèle, le chercheur japonais Masaru Emoto, ayant constaté que les vibrations émises par des instruments de musique ou par la voix, provoquaient dans l’eau la formation de cristaux d’une rare beauté, conclut, après avoir observé et photographié leurs structures à l’aide d’un microscope, que ces vibrations pouvaient avoir une influence bénéfique sur notre organisme qui, comme chacun le sait, se compose, en fonction des morphologies, de 60 à 80% d’eau. Marcelline a profité de cette période de confinement forcé pour se documenter sur de nombreux sujets relatifs à l’eau. L’eau, présente partout sur la Terre, semble recouvrir, avec les océans et les mers, plus de 70 % de notre planète. Or si le volume de la totalité de cette eau est estimé à 1 400 millions de km3 - ce qui correspond à 400 fois celui de la Méditerranée - il faut cependant préciser que plus de 97 % de cette eau est salée, et que celle qui est douce représente à peine 3 % du volume total de l’eau qui se trouve sur la planète. Et que sur ces 3 % d’eau douce, 77 % sont gelés au niveau des calottes polaires et dans les glaciers de montagne, et 22 % sont profondément enfouis dans le sous-sol, ce qui fait qu’il en reste à peine 1% de véritablement disponible pour tous les êtres vivants qui en dépendent. Si l’origine de l’eau sur Terre reste un mystère pour de nombreux scientifiques, Marcelline a également appris qu’à l’époque des pharaons, les Égyptiens, non seulement, la divinisaient et s’en servaient pour célébrer chaque étape de leur existence, mais l’utilisaient aussi, selon certains chercheurs, comme unité de mesure. En effet, les architectes égyptiens ayant découvert que les gouttes d’eau, quel que soit l’endroit d’où elles provenaient, avaient toutes un diamètre identique égale à 1cm, ils auraient alors multiplié cette longueur et établit un système de calcul décimal correspondant au nombre des doigts de leurs mains. Marcelline conclut que c’était peut-être pour cette raison, lorsqu’elle se sent triste ou un peu souffrante, elle écoute du jazz, surtout du Django Reinhardt, à des fins thérapeutiques.
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