Européennes : oui, c’est une défaite cuisante pour Macron, qui s’en prend aux pères de famille

Certains prêtent à Macron des qualités de stratège ou tacticien qu’il n’a pas. Macron se sent traqué. C’est la panique dans sa tête de psychopathe qui refuse de voir la réalité en face. La dissolution, prise sous la pression, est le premier acte d’une fuite en avant qui le conduit droit à sa perte. Le dénouement de l’affaire Brichel pointe son nez... Oui, Macron a subi une défaite cuisante, aux élections européennes, prélude à celle qui se profile les 30 juin et 7 juillet, aux élections législatives, qu’il a provoquées pour tenter de sauver sa peau. Le résultat du 9 juin traduit, sans ambiguïté aucune, son rejet massif par les Français. Il ne représente que 8% des 55 millions de Français en âge de voter. Loin d’être un rusé Machiavel, il est pris au piège de son arrogant mépris pour tous les Français. Comment va-t-il se dépatouiller pour éviter l’avanie qui le guette? Une chose est quasi certaine, dans son propre camp, les dagues sont sorties du fourreau! Dans le collimateur de Macron, les familles “hétérosexuelles“ ne seraient pas de bons parents, en particulier les pères, et ne feraient pas assez d’enfants... Il est de bon ton, pour le va-t-en-guerre, après avoir échoué à imposer la GPA au profit de ses très chers amis, et au vu de la baisse démographique de la France, d’accuser subitement les parents hétéros de tous les maux, alors que lui-même n’a pas d’enfant! Les députés européens interdisent la GPA. La “gestation pour autrui sera considérée comme traite d’êtres humains : Pour se venger de cet affront, Macron a-t-il désormais l’intention de stigmatiser, voire de pénaliser, via une de ses énièmes lois scélérates intitulée “devoir de visite pour les pères absents“, les parents hétérosexuels, en les faisant passer pour de mauvais parents? Le procédé passe mal chez les concernés. De quoi j’me mêle!! Les hétéros, eux et elles, s’inquiètent plutôt de ses affirmations, pour le moins hasardeuses, à propos de maternité et de paternité? En 2020, en effet, Macron avait déclaré, en substance, “qu’un père n’est pas nécessairement un mâle“. De quoi s’interroger sur sa santé mentale. De fait, cette affirmation est contredite, sans ambiguïté aucune, par la définition donnée dans le dictionnaire de l’Académie française : “Le père est l’homme (le mâle) qui a engendré un ou plusieurs enfants“. Dans les écoles, sous la pression d’Attal, de soi-disant instructeurs sexuels laissent, par ailleurs, entendre à des gosses médusés, incrédules, choqués “qu’ils ou elles ne sont pas forcément des garçons ou des filles“. Macron : “Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle.” En réponse au fou de guerre qui, pour des raisons strictement d’ego, a décidé de plonger la France dans un déflagration mondiale monstrueuse autant que dévastatrice, en attaquant la Russie, je propose à votre réflexion ces quelques images, lesquelles, mieux que des discours, vous montrent à la fois l’horreur et la dangerosité du personnage et vous rassurent, du moins je l’espère, sur ce que nous sommes réellement, ici bas!