Jacques Brel - Voir un ami pleurer (1977) subtitled

* VERSION 2.0 * SUBTITLES in French and English FRANCAIS Et le voici, le video de la seconde génération de la chanson ’Voir un ami pleurer’ par Jacques Brel. Cette fois, je m’ai bien preparé avec un vrai enquête dans les paroles qui ne sont pas vraiment faciles. S’il vous plaît, laissez vos commentaires au dessous. ENGLISH After careful preparation provoqio can finally publish the second generation video of this beautiful song that is in fact a poem. The english translation might be helpful to grasp its meaning. NEDERLANDS Hoe het allemaal zo ver heeft kunnen komen staat in het onderzoek. ENQUÊTE - RESEARCH - ONDERZOEK # LYRICS - LES PAROLES ---------------- Jacques Brel - Voir un ami pleurer (1977) Bien sûr il y a des guerres d’Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr tout ce manque de tendre Il n’y a plus d’Amérique Bien sûr l’argent n’a pas d’odeur Mais pas d’odeur vous monte au nez Bien sûr on marche sur les fleurs, mais Mais voir un ami pleurer Bien sûr il y a nos défaites Et puis la mort qui est tout au bout Nos corps inclinent déjà la tête Étonnés d’être encore debout Bien sûr les femmes infidèles Et les oiseaux assassinés Bien sûr nos cœurs perdent leurs ailes, mais Mais voir un ami pleurer Bien sûr ces villes épuisées Par ces enfants de cinquante ans Notre impuissance à les aider Et nos amours qui ont mal aux dents Bien sûr le temps qui va trop vite Ces métros remplis de noyés La vérité qui nous évite, mais Mais voir un ami pleurer Bien sûr nos miroirs sont intègres Ni le courage d’être juif Ni l’élégance d’être nègre On se croit mèche on n’est que suif Et tous ces hommes qui sont nos frères Tellement qu’on n’est plus étonnés Que par amour ils nous lacèrent, mais Mais voir un ami pleurer - - Written by Jacques Brel # TRANSLATION - ENGLISH --------------- For sure, there are wars in Ireland And the tribes without music For sure, all this lack of tender And America is no more For sure, money has no smell But no smell gets up to your nose For sure, we walk on flowers, but But seeing a friend cry For sure, there are our defeats And also death at the very end The body is already leaning it’s head Surprised of still being standing For sure, the unfaithful women And the murdered birds For sure, our hearts are losing their wings, but But seeing a friend cry For sure, these exhausted cities By these fifty year old children Our impotence to help them And our love affairs with toothache For sure, time goes too fast Those trains filled with the drowned The truth that evades us, but But seeing a friend cry For sure, our mirrors are intact Neither the courage to be a jew Nor the elegance to be a negro We believe we are the wick but we are just wax And all these men who are our brothers So much we are no more surprised When out of love they lacerate us, but But seeing a friend cry - - Source Adapted by