Le déchaînement du désordre

Article paru dans «La Nation» du 8 mars 2024 sous la plume d’Olivier Delacrétaz. Les guerres conduites au nom de «valeurs» morales sont les pires. C’est normal: quand on combat le mal, on ne peut vouloir que son écrasement total et définitif. Par un curieux renversement logique, la générosité même de la cause invoquée autorise le recours aux moyens les plus barbares. Et l’extension du conflit devient désirable parce qu’elle manifeste l’unité de la civilisation face au mal. Si vous n’êtes pas encore abonné :
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