Macron s’en va-t-en guerre…// avec Yves Bataille

Saviez-vous qu’il est maintenant possible de soutenir Brochu TV et faire la différence.   Par courriel interac (brochutv01@ mot de passe : brochutv) aidez-nous à faire la différence, merci à nos généreux donateurs. par Olivier Chambrin Macron s’en va-t-en guerre, mironton, mirontaine… * Certains éléments rendus publics permettent de préciser l’analyse des possibles conséquences de l’engagement de l’armée française directement contre les forces russes. Nous allons revenir sur les déclarations de différents responsables politiques dans ce cadre. Cela préparera à l’écoute des déclarations du président français le 14 mars 2024 sur le sujet. «Nous irons pendre notre linge sur la ligne Surovikine» En premier lieu, on peut considérer que l’hypothèse selon laquelle les déclarations du président français ne sont pas (uniquement) une lubie personnelle mais s’inscrivent dans une stratégie partagée est validée : Une forme de coalition semble bel et bien se dessiner au sein de l’OTAN1. La décision claire de Washington de ne pas envoyer de troupes au sol officiellement ne signifie nullement un refus d’intervenir. On peut penser qu’il s’agit plutôt d’éviter une confrontation avec un adversaire nucléaire et de privilégier l’approche indirecte qui fut caractéristique de la guerre froide. Tenant compte d’une opinion défavorable (après le traumatisme du Viet Nam, les désillusions de l’Irak et de l’Afghanistan) qui revient volontiers à un certain isolationnisme -réactivé par le candidat Trump2-, cette stratégie a porté ses fruits. Les USA apparaissent comme les principaux bénéficiaires de la guerre en Ukraine et activer les proxys otaniens paraît logique et profitable, dans un contexte qui rappelle superficiellement celui des années 1938/19413.
Back to Top