Résistance à l’oppression

Ornella Vaudron alias N’Orny (Gilet jaune avant l’heure) : La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 stipule en Art. 2 : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. Christophe Dettinger (boxeur contre l’oppression) : Les libertés sont sournoisement attaquées par le pouvoir. La propriété est dans la ligne de mire des fonds de pensions qui posséderont tout et nous ne posséderons plus rien. La sûreté n’est plus assurée pour les manifestants ! Lorsque les gouvernements violent les droits du peuple, la résistance à l’oppression est un droit et devient même un devoir ! Damien Tarel (« tarte à Tain » gifleur de Macron) : Gifler le chef de l’État est un acte proportionné de résistance à l’oppression, lui qui a ordonné tant d’actes oppressifs contre les gilets jaunes, les blouses blanches, les pompiers, les futurs retraités, la population confinée injectée… Compromettant ainsi dans ces actes illégaux personnels de santé, justice et policiers ! Stéphanie (Syndicat GJ activiste contre syndicats soumis) : La stratégie des chocs permet aux gouvernements successifs de dégrader toujours plus nos libertés collectives, en terrorisant la population. Menace d’attentat, de pandémie, de guerre mondiale. Des textes liberticides sont imposés dans l’urgence, sans débat, par des gens incompétents, avec des conséquences dramatiques. La perte des services publics au profit de la privatisation de nos biens communs atteint aussi nos libertés fondamentales : l’accès aux soins, la liberté de se déplacer, le droit à obtenir justice et à une instruction élevée. À tout cela s’ajoute l’appauvrissement organisé de la population. Résistons à l’oppression pour nos libertés collectives, qui sont les seules à pouvoir garantir la véritable émancipation des individus. Pour la dignité et le bonheur. Stéphane Stef Espic (activiste résistant à l’oppression, 40 procès et 9 requêtes CEDH) : La justice est en pleine forfaiture, bafouant l’article 66 de la Constitution selon lequel : L’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle pour s’assurer que nul ne peut être arbitrairement détenu. Or, les gardes à vue des opposants politiques, que ce soient des activistes symboliques ou de simples manifestants, sont des peines de détention arbitraire car imposées par un pouvoir politique bafouant le principe de la séparation des pouvoirs ! La nomination des procureurs de la République par le pouvoir exécutif est une hérésie française ! Nos gouvernants bafouent chaque article de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Ces violations répétées des libertés individuelles sont les multiples sources d’un fleuve d’oppression qui débouchera sur une mer de sang et de larmes si nous ne nous unissons pas avant ! #France #Macron #Injustices
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