Peut-on encore dire “Joyeux Noël“ ou devrait-on dire “Bon Noël utile et pertinent !“ ?

Noël a lieu tous les ans le 25 décembre depuis le 4ème siècle, soit 16 siècles de tradition… et il faudrait s’y attaquer ? Je ne veux pas m’y attaquer pour m’y attaquer, au nom de je ne sais quel principe, je veux m’attaquer à la fête consumériste et principalement consumériste qu’elle est devenue, ceci en faisant fi des défis auxquels nous sommes dores et déjà confrontés et qui, soyons en certains, ne peuvent que s’amplifier. Je veux défendre le bonheur de la rencontre et celui de se faire un, des plaisirs utiles et durables, je conclue cette vidéo par des pistes… Commençons par un peu d’histoire : depuis 150 à 200 ans et particulièrement depuis 100 ans, nous avons fait beaucoup évoluer ce que nous commémorons à cette date. Autrefois commémoration de la naissance d’un enfant, désormais fête de tous les enfants… et grands ! Ceci pourrait être une bonne chose si nous en faisions ce qu’autrefois on appelait la trêve de Noël, mais voilà, ce n’est pas le cas, ce n’est plus le cas… qui parle encore aujourd’hui de la “trêve des confiseurs“ (ce qui était déjà une orientation surprenante, pas une trêve pour une paix mais une trêve pour des bonbons… pas méchants les bonbons me direz vous, et c’est vrai !) ? Aujourd’hui, même plus question d’une trêve quelconque, juste… des cadeaux, le plus souvent achetés après maintes réflexions et recheches de plus en plus complexes pour savoir ce qui pourrait faire plaisir tant tous les besoins primaires sont désormlais couverts. J’espère ne pas vous choquer mais participer à un choc, une prise de conscience et, loin de vouloir être rabat-joie, je vous souhaite un “Bon Noël, utile et durable et, bien sûr, heureux !“ Allez, trêve des écrits, place au discours… Pour un livre : Pour une analyse de votre habitat :
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