Macron veut-il céder la dissuasion nucléaire française à l’Europe? avec le Gén Dominique Delawarde

-Emmanuel Macron aurait trahi la doctrine française sur la dissuasion nucléaire, lors de sa visite en Suède, le 31 janvier. C’est ce qu’affirment des représentants du Rassemblement national et de La France insoumise depuis trois jours. «Lorsqu’en 2019, nous alertions sur la volonté d’E. Macron de “partager notre puissance nucléaire”, avec la signature du traité d’Aix-la-Chapelle, nous étions accusés de complotisme. Européaniser notre puissance nucléaire est une folie dont E. Macron ne comprend pas la portée !» s’est ainsi indignée, Marine Le Pen, sur X, vendredi. «Macron veut mettre la dissuasion nucléaire à la disposition de l’Union européenne. C’est une rupture totale avec la doctrine nucléaire française. Nous appelons le Président à y revenir au plus vite», a écrit, de son côté, le député insoumis Bastien Lachaud. Le parti s’est fendu d’un communiqué en ce sens, intitulé : «Emmanuel Macron a tort. La dissuasion nucléaire ne se partage pas.» Élections présidentielles états-uniennes, par Dominique Delawarde PARTAGER SUR:FacebookTwitter Linked InEmail -Si l’on en croit sa très récente prestation de plus de deux heures face à Tucker Carlson, l’état de santé de Vladimir Poutine s’améliore de jour en jour après le quinzième «fake» cancer annoncé par les médias mainstream «blagueurs» occidentaux. L’état de santé du roi Charles III du Royaume Uni, atteint, lui, d’un «vrai» cancer et celui du président US Biden, candidat à sa réélection, se détériorent rapidement. Pour le président US, l’accélération du rythme de ses grosses gaffes, possible effet secondaire du dernier booster de Pfizer qu’il s’est fait injecter, à l’insu de son plein gré, est hallucinante. Voir la vidéo ci-dessous sans oublier de mettre le son. Trêve de galéjade, à moins de 8 mois de l’élection présidentielle US et de l’élection législative britannique, le leadership actuel du monde anglosaxon n’est pas au mieux de sa forme physique et politique. C’est devenu un casse-tête pour l’«État profond» néoconservateur, mondialiste, accessoirement sioniste et surtout israélo-anglosaxon, qui se demande comment remplacer Netanyahou, Biden et Shunak, créateurs inégalables de «chaos constructifs» sur la planète. Si l’on ajoute à ces incertitudes du 2ème semestre 2024 : l’élection russe du 15 au 17 mars ; les élections européennes du 9 juin ; les Jeux sportifs des BRICS organisés par la Russie du 12 au 23 juin à Kazan ; un nouvel élargissement de l’OCS, sous présidence Kazakhe, en juillet, à Astana ; les Jeux olympiques du 26 juillet au 11 août en France, sans la Russie et la Biélorussie, non invitées, mais avec un tapis rouge pour la participation d’un État génocidaire et les risques qui en découlent très logiquement pour sa délégation, pour la France et pour la sécurité des Jeux ; un nouvel élargissement des BRICS, sous présidence russe, en Octobre à Kazan ; pour terminer l’année en apothéose par les deux élections anglosaxonnes (USA, UK), sans compter les évolutions économiques et militaires des conflits en cours et de ceux qui pourraient naître du chaos ambiant, ce qui reste d’année 2024 sera forcément très dense, passionnant, et peut être triste ou joyeux à vivre, selon les individus. Dominique Delawarde
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