Un français quitte la France pour le Japon, son premier réflexe va vous surprendre.

Il est dangereux d’accepter des races malades comme des Européens de l’Ouest (« de l’Ouest » et « à l’ouest ») au Japon, leur premier réflexe est de vouloir rendre le pays moins japonais pour faire de ce pays civilisé et développé, un trou à merde multiethnique et multiconflictuel comme son pays d’origine : la France. Si l’idéologie que prône ce Français est si bonne, pourquoi a-t-il choisi une nation d’élite comme le Japon pour faire ses études et non pas l’Algérie ? Après avoir reçu deux bombes atomiques, plus l’accident nucléaire de Fukushima, plus les problèmes de tremblements de terre, de tsunamis, etc., est-ce que les Japonais peuvent vraiment se permettre le luxe de se payer un nouveau fléau ? C’est là qu’apparaît une ressemblance frappante avec l’immigration du tiers-monde, surtout islamique : aussitôt réchappé de son trou à merde, l’immigré français moyen entreprend mécaniquement de recréer les conditions qui l’ont poussé à fuir son pays en premier lieu. Pour les musulmans, cela consiste à proclamer la loi coranique à coups de couteau et pour les Français à répandre le virus gauchiste. Tout s’imbrique : l’expat gauchiste français, partout où il va, pave la voie à l’arrivée des musulmans. Sans gauchisme mental, il ne viendrait à l’idée de personne d’accepter ces populations bigarrées qui ne vivent que pour rendre cette planète invivable avec leur religion de merde. L’émigré français est Jean le Baptiste de l’islam africain, de la marée de chiasse qui se répand sur le monde comme les Orcs et les Gobelins au service du Mordor, allégoriquement parlant : du diable ! Je trouve ce parallèle saisissant entre la chiasse islamique du tiers-monde et le pus gauchiste européen, alliés pour répandre les ténèbres de la décivilisation et plonger cette planète dans une dystopie dysgénique. Un français quitte la France pour le Japon, son premier réflexe va vous surprendre.